Faciliter l’accès à l’énergie décarbonée : utiliser le soleil, l’eau, la biomasse, le vent ou l’atôme pour produire de l’électricité, la stocker et la rendre accessible où et quand on en a besoin.
En 2021, les équipes de John Cockerill ont notamment travaillé sur ces projets emblématiques :
Un rayonnement aux 4 coins du monde
Premier fournisseur mondial de récepteurs solaires à sels fondus, John Cockerill a confirmé en 2021 sa position de leader du marché, avec la signature d’un contrat de conception et de fourniture d’un récepteur thermo-solaire pour l’Afrique du Sud. Avec désormais 5 références à travers le monde pour cette technologie de production d’électricité 100% verte, John Cockerill se positionne plus que jamais en tant qu’acteur majeur de la transition énergétique.
Coup double en Afrique du Sud
440 000 tonnes de CO2 évitées
L’ABC du thermo-solaire John Cockerill
Ça brille à Dubaï
1.6 million de tonnes de CO2 évitées
320 000 foyers fournis en électricité
Le CO2 comme fluide caloporteur
La température maximale des sels fondus, le fluide caloporteur actuellement utilisé dans les centrales thermo-solaires, est de 565°C. Afin d’augmenter encore cette température et donc d’augmenter le rendement et la performance des centrales thermo-solaires, les équipes de John Cockerill planchent sur un nouveau produit caloporteur capable de stocker et de transférer la chaleur. Une des solutions à l’étude est une suspension de particules solides dont la température pourra avoisiner les 700° C. Celle-ci pourrait fournir une densité de stockage d’énergie 2,5 fois plus élevée pour un coût de stockage d’énergie divisé par deux. Autre idée, à l’étude cette fois dans le cadre du projet de recherche COMPASsCO2 : l’utilisation de CO2 supercritique comme fluide de travail dans le cycle thermodynamique pour la production d’électricité. Là aussi, les recherches avancent, avec toujours le même objectif, apporter des réponses technologiques au défi que s’est lancé l’Union européenne : la décarbonation de l’économie à l’horizon 2050.
Du solaire au nucléaire
Fort de son expertise technologique dans les sels fondus, John Cockerill participe depuis 2021, aux côtés de Terrestrial Energy et d’Engie Laborelec, à la mise au point des Petits Réacteurs Modulaires nucléaires (ou Small Modulars reactors, SMR). La contribution des équipes de John Cockerill à ce développement a porté sur l’étude de la corrosion qu’engendrent les sels fondus utilisés dans les SMR sur les différents composants de ces futurs réacteurs. Les experts de John Cockerill ont démarré le développement d’une boucle de test permettant d’étudier la corrosion de ces futurs réacteurs dans la durée. Pour John Cockerill, cette activité constitue la passerelle parfaite entre ses activités dans les énergies renouvelables et celles dans l’énergie nucléaire et confirme l’ambition de John Cockerill pour faciliter l’accès aux énergies décarbonées.
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Quand le renouvelable intégré réduit l’empreinte carbone et la facture énergétique
Industriels, transporteurs et communautés : John Cockerill propose à trois catégories d’utilisateurs des solutions renouvelables intégrées pour réduire leur empreinte carbone et leur facture énergétique. Au cœur de ces solutions : l’Energy Management System de John Cockerill couplé à une savante combinaison de panneaux solaires, de batteries et de technologies spécifiques selon les projets. Ceux que nos équipes ont démarré en 2021 permettront d’éviter plus de 10 000 tonnes de CO2 par an. La transition énergétique est en marche.
Electrifier le Tchad grâce au stockage d’énergie
A lui seul, ce système de stockage par batteries permettra d’éviter la production de 300 tonnes de CO2 par an. Avec ces technologies, les équipes de John Cockerill se positionnent en partenaires des opérateurs énergétiques privés du Tchad, sur lesquels les autorités de l’Etat misent pour électrifier le pays, dont le taux d’accès à l’électricité n’est actuellement que de 11%.
9 000 tonnes de CO2 en moins pour les frites de Lutosa
C’est bien sûr en Belgique que cela se passe : John Cockerill aide le producteur de frites Lutosa à réduire son empreinte carbone et produire de manière responsable. Il installe sur son site de Leuze-en-Hainaut une cogénération au biogaz, qui lui permettra de réduire ses émissions de CO2 de 9 000 tonnes par an.
L’installation est composée d’un moteur d’1,5 MW électrique, d’une chaudière vapeur de 20 bars, d’un caisson acoustique et des équipements auxiliaires. John Cockerill prend en charge sa réalisation de A à Z : conception, approvisionnement et livraison, construction et assemblage, installation sur site et mise en service. Démarrage prévu au 2e semestre 2022.
3 applications, 3 combinaisons de technologies
« Avec nos solutions renouvelables intégrées, nous sommes fiers de participer à la décarbonation de l’économie et à la lutte contre le changement climatique. »
Dieter Hasevoets, Responsable des activités Integrated Renewable Solutions
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Hydrogène : en pole position pour décarboner l’économie
Cinq ans après sa décision, à la fois stratégique et pionnière, d’investir dans la filière hydrogène, John Cockerill a vu son leadership technologique et commercial se renforcer en 2021. Au-delà de la conception et de la fourniture d’électrolyseurs, John Cockerill a œuvré cette année au développement de gigafactories dans plusieurs pays du monde, France et Inde en tête. Cette double position de leader mondial du marché des électrolyseurs de grande capacité et de pionnier des gigafactories fait de John Cockerill un acteur majeur de la décarbonation des industries et de la mobilité.
Les électrolyseurs les plus puissants au monde
En 2021, John Cockerill a conçu, produit et livré à China Huaneng Group deux électrolyseurs de 1300Nm3/h et 6,5 mégawatts de capacité unitaire. Ces électrolyseurs, les plus puissants au monde, sont une innovation technologique tout droit sortie des ateliers de Cockerill Jingli Hydrogen, la filiale chinoise du Groupe. A noter qu’en cours d’année, John Cockerill a pris le contrôle à 100% de cette filiale, en acquérant l’intégralité des parts et la pleine propriété intellectuelle des technologies.
Les équipes ont célébré ce record technologique mondial en présence du client, d’autorités locales, de fournisseurs et d’instituts de recherche. Cette prouesse industrielle s’accompagne d’une force d’innovation : nos équipes de R&D ont poursuivi leurs recherches pour continuer à augmenter la capacité des électrolyseurs John Cockerill, lesquels sont déjà les plus impressionnants au monde, tant par leur taille que par leur puissance.
Première Gigafactory en construction
Avec la construction de gigafactories, John Cockerill facilite l’accès à l’énergie décarbonée et soutient le déploiement de filières hydrogène aux quatre coins du monde. Un partenariat s’est conclu en 2021 avec Greenko, le leader indien des énergies renouvelables, pour le déploiement de gigafactories en Inde. Des contacts ont été noués ailleurs dans le monde. C’est le cas en Australie, en Arabie saoudite ou encore au Maroc, où John Cockerill coopère avec des acteurs locaux de premier plan à la mise en place de filières hydrogène.
Première commande européenne
Cette première référence européenne pour John Cockerill génèrera le premier hydrogène renouvelable du Pays basque. Il alimentera notamment des bus et véhicules légers de la plateforme logistique de la raffinerie Petronor, la première station d’hydrogène du Pays basque.
Après la Chine, où le marché de l’hydrogène est déjà bien développé, l’Europe et le reste du monde devraient sous peu voir démarrer les filières hydrogène, qu’il s’agisse de décarboner la mobilité ou différentes industries, pétrochimie et sidérurgie en tête.
« Avec 33% de parts du marché 2021 des électrolyseurs alcalins de grande capacité, nous confortons notre leadership mondial et démontrons notre aptitude à accompagner les marchés mondiaux sur la voie de la décarbonation de l’industrie et de la mobilité. »
Raphaël Tilot, Responsable des activités Renewables et Hydrogène
Des collaborations pleines d’avenir vert
Il a également participé à deux projets collaboratifs précurseurs, qui ont connu des avancées significatives en 2021 : H2GridLab, initié par le gestionnaire des réseaux d’électricité et de gaz bruxellois Sibelga, vise à développer un pilote Power-to-Gas à base d’hydrogène vert via une station de Fluxys. Quant à Columbus, développé avec Carmeuse et Engie, il doit permettre la capture et l’utilisation du carbone issu d’un nouveau type de four à chaux. Ce CO2 est combiné à de l’hydrogène vert, produit par une usine d’électrolyse de 75 MW, pour devenir de l’e-méthane, un gaz renouvelable. Auréolé cette année d’un Febeliec Award, Columbus est le plus grand projet de ce type au monde.
Par ailleurs, John Cockerill s’est également associé au consortium belge Hyoffwind et à BESIX pour réaliser une installation Power-to-Gas à Zeebruges (Belgique). Objectif : convertir en hydrogène vert l’électricité renouvelable des éoliennes en Mer du Nord.
151 : C’est le nombre de mégawatts installés dans le monde avec des électrolyseurs John Cockerill, pour un marché global installé de 458 MW.
1300Nm3/h et 6,5 MW : c’est la capacité unitaire record proposée par les électrolyseurs alcalins de John Cockerill.
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L’éolien a le vent en poupe
L’aventure de la maintenance éolienne a débuté en 2008 pour John Cockerill. En 2021, ses équipes ont presque multiplié par deux le nombre d’éoliennes sous contrat de maintenance, passant de 110 éoliennes en 2020 à 200 en 2021. En Belgique, en France et au Brésil, les spécialistes de la transition énergétique de John Cockerill ont pour objectif d’améliorer la fiabilité, les performances et l’efficacité des parcs éoliens dans le plus strict respect des règles de sécurité.
Sur terre comme en mer
En France et au Brésil, John Cockerill a obtenu des commandes pour l’éolien onshore et a conclu d’importants contrats de maintenance et de réparation de pales. Au Brésil, ses spécialistes entretiendront des parcs éoliens pendant 3 années supplémentaires tandis qu’en France, ils assureront la maintenance, fourniture de pièces détachées comprise, sur deux nouveaux parcs éoliens.
En Belgique, John Cockerill a remporté le renouvellement d’un contrat pour la maintenance d’un parc éolien offshore situé au large d’Ostende, pour une durée de 4 ans. Quelque 21 de ses spécialistes en assurent la maintenance depuis 2008, à la grande satisfaction de leur client.
800.000
c’est le nombre de tonnes de CO2 que les interventions sur éoliennes de John Cockerill contribuent à éviter chaque année.
500.000
c’est le nombre de foyers qui sont alimentés en énergie renouvelable par les éoliennes entretenues par les techniciens de John Cockerill.
200
c’est le nombre d’éoliennes entretenues par les équipes de John Cockerill en 2021
130
c’est le nombre d’experts éoliens déployés par John Cockerill en France, en Belgique et au Brésil.
Des techniciens de haut vol
SupAirVision, première levée de fonds
Outre la qualité des services proposés, le choix de SupAirVision s’est aussi imposé par sa capacité à répondre aux besoins de notre temps : développer des produits nécessaires aujourd’hui et proposer des solutions techniques et opérationnelles innovantes. A travers ses activités de maintenance d’éoliennes onshore et offshore en France, en Belgique, en Espagne, au Brésil et au Maroc, John Cockerill aura sans conteste un rôle à jouer pour accompagner le développement de SupAirVision.
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50 ans au service d’une énergie décarbonée : le nucléaire
Fort de plus d’un demi-siècle au service de la sécurisation des centrales nucléaires, John Cockerill contribue au maintien de la sûreté des sites et des composants des centrales, ainsi qu’à la sécurité des populations, riverains et professionnels qui gravitent autour. Parce que participer à la transition vers des énergies décarbonées, c’est non seulement développer les solutions renouvelables, mais aussi prendre soin de la filière nucléaire.
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Performances reconnues en France
La diversification des activités et clients sur les « Opérations Gros Composants » s’est également concrétisée par un contrat avec Framatome pour la conservation des équipements avant le démarrage de l’EPR de Flamanville.
Ces contrats témoignent de la confiance de l’exploitant nucléaire et des grands donneurs d’ordre du secteur, conquis par l’engagement au quotidien des équipes de John Cockerill pour garantir des équipements plus sûrs et plus performants.
Belgique : maintien ou démantèlement, John Cockerill reste partenaire
En 2021, John Cockerill a ainsi accepté l’invitation de Ministres belges pour organiser la fin de vie des réacteurs nucléaires et piloter les activités de démantèlement. En cas de création d’une filière belge de démantèlement, John Cockerill entend y jouer un rôle central : déjà partenaires des centrales existantes, les équipes de John Cockerill ont les compétences pour les démanteler si une décision est prise en ce sens.
La formation, gage de performance et de sécurité
Depuis toujours, John Cockerill veille à la sécurité de son personnel et au développement de la Culture Sûreté. Il s’astreint également au respect strict des normes, des référentiels et des prescriptions légales en matière d’exposition aux radiations./div>
Le solaire au service des SMR
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Produire de manière responsable