Faciliter l’accès à l’énergie décarbonée

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Faciliter l’accès à l’énergie décarbonée
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Faciliter l’accès à l’énergie décarbonée : utiliser le soleil, l’eau, la biomasse, le vent ou l’atôme pour produire de l’électricité, la stocker et la rendre accessible où et quand on en a besoin.

En 2021, les équipes de John Cockerill ont notamment travaillé sur ces projets emblématiques :

Un rayonnement aux 4 coins du monde

Premier fournisseur mondial de récepteurs solaires à sels fondus, John Cockerill a confirmé en 2021 sa position de leader du marché, avec la signature d’un contrat de conception et de fourniture d’un récepteur thermo-solaire pour l’Afrique du Sud. Avec désormais 5 références à travers le monde pour cette technologie de production d’électricité 100% verte, John Cockerill se positionne plus que jamais en tant qu’acteur majeur de la transition énergétique.

Coup double en Afrique du Sud

Cinq ans après la mise en service de Khi Solar One, John Cockerill retourne en Afrique du Sud pour livrer un récepteur thermo-solaire de nouvelle génération. Sa deuxième référence dans le pays et la cinquième dans le monde. #LeaderMondial

Coup double en Afrique du Sud

Un récepteur thermo-solaire John Cockerill équipera dès 2023 la prestigieuse tour solaire Redstone en Afrique du Sud. Ce nouveau succès commercial a été décroché en 2021, cinq ans après le démarrage de la centrale thermo-solaire Khi Solar One à Upington, dont John Cockerill avait conçu et fourni le récepteur. Cette commande est le fruit de la parfaite synergie entre les équipes de John Cockerill, qui ont encore perfectionné leur technologie, forts des plus de 10 ans d’expérience en la matière et des dernières innovations des experts maison en Recherche & Développement. Avec ses 100 MWe, elle permettra d’alimenter 200 000 foyers en électricité et d’éviter 440 000 tonnes de CO2 par an.

440 000 tonnes de CO2 évitées

L’ABC du thermo-solaire John Cockerill

Les technologies thermo-solaires de pointe conçues par John Cockerill permettent de produire de l’électricité solaire 24h/24 grâce aux sels fondus utilisés comme fluide caloporteur. Ces sels alimentent un récepteur John Cockerill installé au sommet d’une tour, où leur température atteint jusqu’à 565°C. Ils sont ensuite stockés durant 10 à 18h, permettant ainsi de produire de l’électricité jour et nuit. Ce type de technologie permet d’éviter la production de plusieurs centaines de milliers de tonnes de CO2 par centrale et de contribuer largement à diminuer la pollution de la planète.
Ça brille à Dubaï

Les centrales thermo-solaires constituent un des éléments incontournables du mix technologique nécessaire à la transition énergétique et à la décarbonation des activités humaines.

Ça brille à Dubaï

En novembre, alors que le monde avait les yeux rivés sur Dubaï et son exposition universelle, John Cockerill a convié la délégation belge et le Ministre-Président de la Région wallonne à visiter le complexe énergétique MBR Solar Park. C’est là, au sommet d’une tour de béton de 262m, que fonctionne un récepteur thermo-solaire John Cockerill. Cette technologie impressionne tant par ses dimensions que par ses capacités : entrelac géant de tuyaux, de réservoirs et d’échangeurs de chaleur, l’élément pèse 1 500 tonnes et mesure à lui seul une quarantaine de mètres de haut. Cœur technologique de la centrale, il lui permet de fournir de l’électricité à 320 000 ménages et d’éviter 1,6 million de tonnes de tonnes de CO2 par an.

1.6 million de tonnes de CO2 évitées

320 000 foyers fournis en électricité

Ça brille à Dubaï

Ici, champs de miroirs du MBR Solar Park photographié du sommet de la tour.

Le CO2 comme fluide caloporteur

La température maximale des sels fondus, le fluide caloporteur actuellement utilisé dans les centrales thermo-solaires, est de 565°C. Afin d’augmenter encore cette température et donc d’augmenter le rendement et la performance des centrales thermo-solaires, les équipes de John Cockerill planchent sur un nouveau produit caloporteur capable de stocker et de transférer la chaleur. Une des solutions à l’étude est une suspension de particules solides dont la température pourra avoisiner les 700° C. Celle-ci pourrait fournir une densité de stockage d’énergie 2,5 fois plus élevée pour un coût de stockage d’énergie divisé par deux. Autre idée, à l’étude cette fois dans le cadre du projet de recherche COMPASsCO2 : l’utilisation de CO2 supercritique comme fluide de travail dans le cycle thermodynamique pour la production d’électricité. Là aussi, les recherches avancent, avec toujours le même objectif, apporter des réponses technologiques au défi que s’est lancé l’Union européenne : la décarbonation de l’économie à l’horizon 2050.

Du solaire au nucléaire

Fort de son expertise technologique dans les sels fondus, John Cockerill participe depuis 2021, aux côtés de Terrestrial Energy et d’Engie Laborelec, à la mise au point des Petits Réacteurs Modulaires nucléaires (ou Small Modulars reactors, SMR). La contribution des équipes de John Cockerill à ce développement a porté sur l’étude de la corrosion qu’engendrent les sels fondus utilisés dans les SMR sur les différents composants de ces futurs réacteurs. Les experts de John Cockerill ont démarré le développement d’une boucle de test permettant d’étudier la corrosion de ces futurs réacteurs dans la durée. Pour John Cockerill, cette activité constitue la passerelle parfaite entre ses activités dans les énergies renouvelables et celles dans l’énergie nucléaire et confirme l’ambition de John Cockerill pour faciliter l’accès aux énergies décarbonées.

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Quand le renouvelable intégré réduit l’empreinte carbone et la facture énergétique

Industriels, transporteurs et communautés : John Cockerill propose à trois catégories d’utilisateurs des solutions renouvelables intégrées pour réduire leur empreinte carbone et leur facture énergétique. Au cœur de ces solutions : l’Energy Management System de John Cockerill couplé à une savante combinaison de panneaux solaires, de batteries et de technologies spécifiques selon les projets. Ceux que nos équipes ont démarré en 2021 permettront d’éviter plus de 10 000 tonnes de CO2 par an. La transition énergétique est en marche.

Electrifier le Tchad grâce au stockage d’énergie

John Cockerill accompagne le Tchad dans le déploiement progressif de mini-réseaux électriques, à savoir des unités de production locale d’électricité verte relativement petites (entre 10kW et 10MW) isolées des autres réseaux électriques.

Electrifier le Tchad grâce au stockage d’énergie

En 2021, John Cockerill a décroché auprès de l’énergéticien tchadien ZIZ un contrat de fourniture et installation d’un système de stockage d’énergie par batteries lithium-ion et d’un transformateur. Ces équipements permettront de finaliser le mini-réseau électrique solaire hybride de la ville de Mongo, au Tchad. Environ 3 000 ménages, artisans, industries et services administratifs seront ainsi connectés au mini-réseau d’ici fin 2022.
A lui seul, ce système de stockage par batteries permettra d’éviter la production de 300 tonnes de CO2 par an. Avec ces technologies, les équipes de John Cockerill se positionnent en partenaires des opérateurs énergétiques privés du Tchad, sur lesquels les autorités de l’Etat misent pour électrifier le pays, dont le taux d’accès à l’électricité n’est actuellement que de 11%.
9 000 tonnes de CO2 en moins pour les frites de Lutosa
9 000 tonnes de CO2 en moins pour les frites de Lutosa

C’est bien sûr en Belgique que cela se passe : John Cockerill aide le producteur de frites Lutosa à réduire son empreinte carbone et produire de manière responsable. Il installe sur son site de Leuze-en-Hainaut une cogénération au biogaz, qui lui permettra de réduire ses émissions de CO2 de 9 000 tonnes par an.
L’installation est composée d’un moteur d’1,5 MW électrique, d’une chaudière vapeur de 20 bars, d’un caisson acoustique et des équipements auxiliaires. John Cockerill prend en charge sa réalisation de A à Z : conception, approvisionnement et livraison, construction et assemblage, installation sur site et mise en service. Démarrage prévu au 2e semestre 2022.

John Cockerill a continué d’accompagner le collecteur de déchets Renewi dans sa démarche d’électrification
En 2021, John Cockerill a continué d’accompagner le collecteur de déchets Renewi dans sa démarche d’électrification de sa flotte de camions. John Cockerill a équipé son site de Seraing (Belgique) d’une infrastructure de recharge couplée à MiRIS, son unité de production et de stockage d’électricité verte. Renewi y a mené des tests grandeur nature avec différents types de véhicules. Objectif pour les deux partenaires : une collecte des déchets zéro carbone pour la ville de Liège.
3 applications, 3 combinaisons de technologies

3 applications, 3 combinaisons de technologies

Les éléments clés des solutions renouvelables intégrées de John Cockerill sont les panneaux solaires, les batteries et l’Energy Management System (EMS). Pour les projets industriels, ils sont combinés à des solutions thermiques (cogénération, stockage thermique et récupération d’énergie). En Afrique, ils sont combinés aux groupes électrogènes déjà présents, afin d’en réduire la consommation. Pour la mobilité verte, ils sont complétés soit par des chargeurs électriques haute puissance et rapides, soit par des stations de production et de distribution d’hydrogène vert.
dieter hasevoets activity manager-Integrated Renewable Solutions

« Avec nos solutions renouvelables intégrées, nous sommes fiers de participer à la décarbonation de l’économie et à la lutte contre le changement climatique. »

Dieter Hasevoets, Responsable des activités Integrated Renewable Solutions

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Hydrogène : en pole position pour décarboner l’économie

Cinq ans après sa décision, à la fois stratégique et pionnière, d’investir dans la filière hydrogène, John Cockerill a vu son leadership technologique et commercial se renforcer en 2021. Au-delà de la conception et de la fourniture d’électrolyseurs, John Cockerill a œuvré cette année au développement de gigafactories dans plusieurs pays du monde, France et Inde en tête. Cette double position de leader mondial du marché des électrolyseurs de grande capacité et de pionnier des gigafactories fait de John Cockerill un acteur majeur de la décarbonation des industries et de la mobilité.

Le plus puissant électrolyseur au monde

Les électrolyseurs les plus puissants au monde

En 2021, John Cockerill a conçu, produit et livré à China Huaneng Group deux électrolyseurs de 1300Nm3/h et 6,5 mégawatts de capacité unitaire. Ces électrolyseurs, les plus puissants au monde, sont une innovation technologique tout droit sortie des ateliers de Cockerill Jingli Hydrogen, la filiale chinoise du Groupe. A noter qu’en cours d’année, John Cockerill a pris le contrôle à 100% de cette filiale, en acquérant l’intégralité des parts et la pleine propriété intellectuelle des technologies.

Les équipes ont célébré ce record technologique mondial en présence du client, d’autorités locales, de fournisseurs et d’instituts de recherche. Cette prouesse industrielle s’accompagne d’une force d’innovation : nos équipes de R&D ont poursuivi leurs recherches pour continuer à augmenter la capacité des électrolyseurs John Cockerill, lesquels sont déjà les plus impressionnants au monde, tant par leur taille que par leur puissance.

Première Gigafactory en construction

Première Gigafactory en construction

John Cockerill a franchi en 2021 plusieurs étapes clés dans la mise en place d’une filière européenne de fabrication d’électrolyseurs, à commencer par le dépôt de demandes de permis nécessaires à la transformation en gigafactory de son site alsacien d’Aspach-Michelbach (France). La nouvelle usine sera opérationnelle fin 2022 et la production d’électrolyseurs s’y intensifiera progressivement : de 350 MW de capacité produite en 2023, elle atteindra le gigawatt avant la fin de la décennie.
Avec la construction de gigafactories, John Cockerill facilite l’accès à l’énergie décarbonée et soutient le déploiement de filières hydrogène aux quatre coins du monde. Un partenariat s’est conclu en 2021 avec Greenko, le leader indien des énergies renouvelables, pour le déploiement de gigafactories en Inde. Des contacts ont été noués ailleurs dans le monde. C’est le cas en Australie, en Arabie saoudite ou encore au Maroc, où John Cockerill coopère avec des acteurs locaux de premier plan à la mise en place de filières hydrogène.
Première commande européenne

Première commande européenne

L’hydrogène produit à partir d’énergie renouvelable intéresse les industriels européens désireux de décarboner leurs activités. Parmi ceux-ci, le pétrolier espagnol Repsol a commandé cette année à John Cockerill un électrolyseur alcalin pressurisé de 2,5 MW afin de réduire son empreinte environnementale.
Cette première référence européenne pour John Cockerill génèrera le premier hydrogène renouvelable du Pays basque. Il alimentera notamment des bus et véhicules légers de la plateforme logistique de la raffinerie Petronor, la première station d’hydrogène du Pays basque.
Après la Chine, où le marché de l’hydrogène est déjà bien développé, l’Europe et le reste du monde devraient sous peu voir démarrer les filières hydrogène, qu’il s’agisse de décarboner la mobilité ou différentes industries, pétrochimie et sidérurgie en tête.
Raphaël Tilot, Responsable des activités Renewables et Hydrogène

« Avec 33% de parts du marché 2021 des électrolyseurs alcalins de grande capacité, nous confortons notre leadership mondial et démontrons notre aptitude à accompagner les marchés mondiaux sur la voie de la décarbonation de l’industrie et de la mobilité. »

Raphaël Tilot, Responsable des activités Renewables et Hydrogène

Des collaborations pleines d’avenir vert

Des collaborations pleines d’avenir vert

En 2021, John Cockerill a multiplié les actions de coopération au sein de la filière européenne de l’hydrogène. Il a ainsi pris part aux travaux de l’association France Hydrogène et à ceux du consortium Hyve en Belgique, avec Colruyt, DEME et des centres de recherche flamands.
Il a également participé à deux projets collaboratifs précurseurs, qui ont connu des avancées significatives en 2021 : H2GridLab, initié par le gestionnaire des réseaux d’électricité et de gaz bruxellois Sibelga, vise à développer un pilote Power-to-Gas à base d’hydrogène vert via une station de Fluxys. Quant à Columbus, développé avec Carmeuse et Engie, il doit permettre la capture et l’utilisation du carbone issu d’un nouveau type de four à chaux. Ce CO2 est combiné à de l’hydrogène vert, produit par une usine d’électrolyse de 75 MW, pour devenir de l’e-méthane, un gaz renouvelable. Auréolé cette année d’un Febeliec Award, Columbus est le plus grand projet de ce type au monde.
Par ailleurs, John Cockerill s’est également associé au consortium belge Hyoffwind et à BESIX pour réaliser une installation Power-to-Gas à Zeebruges (Belgique). Objectif : convertir en hydrogène vert l’électricité renouvelable des éoliennes en Mer du Nord.

151 : C’est le nombre de mégawatts installés dans le monde avec des électrolyseurs John Cockerill, pour un marché global installé de 458 MW.

1300Nm3/h et 6,5 MW : c’est la capacité unitaire record proposée par les électrolyseurs alcalins de John Cockerill.

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L’éolien a le vent en poupe

L’aventure de la maintenance éolienne a débuté en 2008 pour John Cockerill. En 2021, ses équipes ont presque multiplié par deux le nombre d’éoliennes sous contrat de maintenance, passant de 110 éoliennes en 2020 à 200 en 2021. En Belgique, en France et au Brésil, les spécialistes de la transition énergétique de John Cockerill ont pour objectif d’améliorer la fiabilité, les performances et l’efficacité des parcs éoliens dans le plus strict respect des règles de sécurité.

Depuis ses débuts dans l’éolien, John Cockerill n’a cessé de diversifier son offre. Il propose aujourd’hui une gamme de services complète : en plus des prestations de maintenance, de la fourniture de pièces détachées, d’inspections, réparations de pales et d’audits d’équipements en fin de garantie, John Cockerill assure des prestations de changement et de réparation de gros composants.

Sur terre comme en mer

En 2021, John Cockerill a décroché plusieurs contrats d’opérations et de maintenance (O&M) offshore et onshore.
En France et au Brésil, John Cockerill a obtenu des commandes pour l’éolien onshore et a conclu d’importants contrats de maintenance et de réparation de pales. Au Brésil, ses spécialistes entretiendront des parcs éoliens pendant 3 années supplémentaires tandis qu’en France, ils assureront la maintenance, fourniture de pièces détachées comprise, sur deux nouveaux parcs éoliens.
En Belgique, John Cockerill a remporté le renouvellement d’un contrat pour la maintenance d’un parc éolien offshore situé au large d’Ostende, pour une durée de 4 ans. Quelque 21 de ses spécialistes en assurent la maintenance depuis 2008, à la grande satisfaction de leur client.

800.000
c’est le nombre de tonnes de CO2 que les interventions sur éoliennes de John Cockerill contribuent à éviter chaque année.

500.000
c’est le nombre de foyers qui sont alimentés en énergie renouvelable par les éoliennes entretenues par les techniciens de John Cockerill.

200
c’est le nombre d’éoliennes entretenues par les équipes de John Cockerill en 2021

130
c’est le nombre d’experts éoliens déployés par John Cockerill en France, en Belgique et au Brésil.

Des techniciens de haut vol

Le leitmotiv de John Cockerill dans l’éolien : prolonger la durée de vie des éoliennes pour développer l’accès à l’énergie renouvelable.

Des techniciens de haut vol

Combinant technologie et expertise, John Cockerill mobilise un réseau d’unités d’intervention locales, dont des alpinistes industriels, avec des ateliers et centres technologiques dans le monde entier. Ses 130 experts, dont la compétence technique n’est plus à démontrer, réalisent des opérations de maintenance éolienne offshore et permettent ainsi de prolonger la disponibilité des éoliennes, renforçant l’accès à l’énergie renouvelable.En 2021, les équipes basées à Ostende (Belgique) ont réalisé la performance de 4000 jours sans accidents dans la maintenance d’éoliennes offshore.

SupAirVision, première levée de fonds

Industrya, le fonds d’investissement créé en 2020 par John Cockerill et 4 partenaires publics belges, a démarré en 2021 son soutien à la start-up française SupAirVision. Au regard de l’expérience de John Cockerill dans l’éolien, le lien industriel avec SupAirVision coulait de source. SupAirVision dispose désormais du soutien nécessaire pour digitaliser le diagnostic des pales d’éoliennes en Europe et dans le monde. Ses efforts d’innovation seront notamment mobilisés pour permettre le développement de Volta, le premier système de diagnostic des chemins de foudre par drone, et son déploiement sur les marchés allemands et d’Europe du Nord.
Outre la qualité des services proposés, le choix de SupAirVision s’est aussi imposé par sa capacité à répondre aux besoins de notre temps : développer des produits nécessaires aujourd’hui et proposer des solutions techniques et opérationnelles innovantes. A travers ses activités de maintenance d’éoliennes onshore et offshore en France, en Belgique, en Espagne, au Brésil et au Maroc, John Cockerill aura sans conteste un rôle à jouer pour accompagner le développement de SupAirVision.
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50 ans au service d’une énergie décarbonée : le nucléaire

Fort de plus d’un demi-siècle au service de la sécurisation des centrales nucléaires, John Cockerill contribue au maintien de la sûreté des sites et des composants des centrales, ainsi qu’à la sécurité des populations, riverains et professionnels qui gravitent autour. Parce que participer à la transition vers des énergies décarbonées, c’est non seulement développer les solutions renouvelables, mais aussi prendre soin de la filière nucléaire.

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2021 est la treizième année consécutive durant laquelle les femmes et les hommes de John Cockerill contribuent à la maintenance et à la sûreté des centrales nucléaires. Cette activité en France a permis au Groupe de compléter son expertise historique en Belgique sur les opérations de maintenance et sur les projets. Le périmètre des interventions est de plus en plus varié. Elles s’étendent désormais à la maintenance des gros composants des circuits nucléaires (tels que la cuve du réacteur et les générateurs de vapeur), des machines tournantes et ponts roulants, des tuyauteries et ancrages et des équipements de robinetterie, jusqu’aux projets de modification ou de modernisation des installations et de fabrication d’équipements ultra-sécurisés pour les déchets contaminés. Toutes ces opérations visent à prolonger la vie des centrales et à améliorer leur sûreté.
Plus d’un million d’heures de robinetterie en France

Performances reconnues en France

Après avoir passé en 2019 le cap du million d’heures de chantier « Robinetterie », John Cockerill a franchi une nouvelle étape en 2021 en devenant le deuxième acteur national de ce segment, se voyant confier la maintenance de 12 tranches nucléaires : quatre à Tricastin, quatre à Cattenom, deux à Chooz et deux à Belleville.
La diversification des activités et clients sur les « Opérations Gros Composants » s’est également concrétisée par un contrat avec Framatome pour la conservation des équipements avant le démarrage de l’EPR de Flamanville.
Ces contrats témoignent de la confiance de l’exploitant nucléaire et des grands donneurs d’ordre du secteur, conquis par l’engagement au quotidien des équipes de John Cockerill pour garantir des équipements plus sûrs et plus performants.
Belgique : maintien ou démantèlement, John Cockerill reste partenaire

Belgique : maintien ou démantèlement, John Cockerill reste partenaire

Le débat sur le prolongement des centrales nucléaires est vif depuis longtemps en Belgique, et il l’est resté en 2021. Ce débat politique voire idéologique, John Cockerill le laisse aux autorités compétentes et se tient à leur disposition en tant qu’expert technologique. Car quelle qu’en soit l’issue, une chose est certaine : John Cockerill demeure un partenaire de choix pour accompagner les opérateurs des centrales nucléaires du pays.
En 2021, John Cockerill a ainsi accepté l’invitation de Ministres belges pour organiser la fin de vie des réacteurs nucléaires et piloter les activités de démantèlement. En cas de création d’une filière belge de démantèlement, John Cockerill entend y jouer un rôle central : déjà partenaires des centrales existantes, les équipes de John Cockerill ont les compétences pour les démanteler si une décision est prise en ce sens.
La formation, gage de performance et de sécurité

La formation, gage de performance et de sécurité

Convaincu que la sécurité et la sûreté résultent du comportement des hommes au moins autant que de la fiabilité des machines, John Cockerill a continué d’investir en 2021 dans la formation de son personnel d’intervention. Ses équipes sont spécifiquement formées aux opérations sur site nucléaire.
Depuis toujours, John Cockerill veille à la sécurité de son personnel et au développement de la Culture Sûreté. Il s’astreint également au respect strict des normes, des référentiels et des prescriptions légales en matière d’exposition aux radiations./div>

Le solaire au service des SMR

Le solaire au service des SMR

Leader mondial des récepteurs thermo-solaires à sel fondu, John Cockerill a collaboré en 2021 avec Terrestrial Energy, pionnier canadien des Small Modular Reactor (SMR), des réacteurs nucléaires modulaires plus petits, plus simples à construire, plus efficaces et moins chers que les réacteurs traditionnels. « Ensemble, nous développons actuellement une boucle de test qui permettra d’étudier la corrosion de ces futurs réacteurs, explique Adrien, ingénieur R&D. Une nouvelle preuve, s’il en fallait encore, que chez John Cockerill, nous mettons nos forces d’innovation technologique et la diversité de nos activités au service des énergies décarbonées. »
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