Rendre la vie des communautés plus digne

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Rendre la vie des communautés plus digne
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Au-delà des cinq grands besoins de notre temps auxquels ses équipes apportent des réponses technologiques, John Cockerill s’investit aussi pour rendre plus digne la vie des communautés dans lesquelles il est implanté. Cet investissement se matérialise à travers deux axes : l’exécution de projets commerciaux de développement d’infrastructures dédiées à l’amélioration des conditions de vie et, à travers la Fondation John Cockerill, le soutien en ressources technologiques, humaines et financières à des initiatives et projets à vocation sociétale. En 2021, John Cockerill et sa Fondation ont ainsi multiplié les réalisations en Belgique, en Côte d’Ivoire, au Kenya ou encore en Malaisie.

60 : c’est le nombre de projets réalisés par la Fondation John Cockerill au cours de ses 5 premières années d’existence.
Kenya : de l’eau potable pour 116 000 personnes

Kenya : de l’eau potable pour 116 000 personnes

Confrontées à de nombreuses pénuries d’eau dans toute la région d’Homa Bay (Kenya), les autorités locales ont décidé de réhabiliter, moderniser et sécuriser les infrastructures d’approvisionnement et de traitement de l’eau. Dans ce cadre, John Cockerill y a conçu et construit un dispositif mettant chaque jour 8 500 m³ d’eau de qualité à la disposition de quelque 116 000 personnes. Mieux encore, la solution technologique de John Cockerill tend vers la neutralité carbone puisqu’elle est alimentée par 80% d’énergie solaire.
En soi, ce projet était déjà de nature à améliorer la vie des populations locales. Mais les équipes de John Cockerill ont constaté sur place que ni le marché ni l’école tout proches ne faisaient partie du master plan des autorités. Elles en ont alerté la Fondation John Cockerill, qui a décidé de financer la connexion de ces deux entités au nouveau réseau d’eau. Ensemble, le Groupe John Cockerill et sa Fondation ont ainsi pu considérablement améliorer les conditions sanitaires des populations.

Accompagner des enfants en visite en prison

Accompagner des enfants en visite en prison

Garder le lien avec ses parents est un droit fondamental pour chaque enfant. En Belgique, environ 17 000 enfants sont confrontés à l’incarcération de leur papa et/ou de leur maman. La moitié d’entre eux n’a jamais la possibilité de se rendre à la prison. Pour augmenter le nombre de visites et permettre ainsi aux enfants de renouer avec leur(s) parent(s), la Fondation John Cockerill a choisi en 2021 de soutenir le programme Itinérances mené par la Croix-Rouge de Belgique.
Il s’agit d’un réseau de plus de 400 volontaires spécialement formés pour les accompagner en visite carcérale. L’enfant est toujours accompagné par les deux mêmes volontaires. Ils sont formés à établir une relation de qualité avec lui, et le guident en douceur dans le milieu très spécifique qu’est la prison. A travers ce soutien, la Fondation John Cockerill participe à la (re)création d’équilibre et de liens pour les jeunes générations.
1 346 collaborateurs mobilisés pour apporter de l’eau à 650 petits élèves ivoiriens

Défi ”Move for Marg’EAU” relevé pour les équipes de John Cockerill : les plus de 25 000 km parcourus en 72 heures à pied ou à vélo ont permis de financer le raccordement d’une école d’Abidjan à un réseau d’eau potable.

1 346 collaborateurs mobilisés pour apporter de l’eau à 650 petits élèves ivoiriens

Sollicitée par l’équipe de John Cockerill en Côte d’Ivoire, la Fondation John Cockerill a soutenu en 2021 l’opération humanitaire de l’association Marg’EAU, visant à installer un réseau d’eau pour une école à Abidjan. La Fondation a ainsi parrainé un défi sportif auquel 1 346 collaborateurs du Groupe ont pris part, parcourant un total de 25 819 km à pied ou à vélo.
Cette mobilisation massive a permis de rassembler des fonds pour financer les travaux de conception et d’installation, dont les phases de forage et de raccordement devraient s’achever fin 2022.
Bilan : 650 élèves bénéficieront d’un accès à l’eau. Ils pourront alors vivre et étudier dans des conditions sanitaires leur permettant d’effectuer les gestes simples, naturels et élémentaires de la vie quotidienne comme se laver les mains, aller aux toilettes, boire…

Plus que de la philanthropie

John Cockerill India Ltd, entreprise côtée en bourse, dispose depuis de nombreuses années de sa propre entité chargée des actions sociétales menées en Inde. Sa devise : aller au-delà de la philanthropie.
Parmi ses projets de 2021, 3 065 personnes ont été aidées dans des camps médicaux, 2 200 élèves d’une école de garçons ont bénéficié de nouvelles infrastructures sanitaires et de connections à distance, 3 000 kits de self-test Covid ont été distribués aux populations proches de nos usines et 20 045 arbres ont été plantés avec 32 fermiers sensibilisés à la nécessité de varier les essences d’arbres plantés.
Rendre la vie des communautés plus digne
En 2021, la Fondation John Cockerill a redéfini sa stratégie à l’horizon 2025. Elle se définit désormais en ”bâtisseur d’initiatives en faveur d’un monde meilleur”. Elle fait le choix de se concentrer sur des projets concrets en lien avec les Objectifs de Développement Durable de l’ONU, afin d’améliorer et de rendre plus dignes les conditions de vie de toutes les communautés dans le monde. Son action s’appuiera principalement sur la richesse du Groupe John Cockerill : ses talents et ses technologies.
Fondation John Cockerill
Valoriser toujours plus la biomasse résiduelle en Malaisie

Les rafles de fruits, un combustible naturel dont le rendement énergétique est maximisé dans l’unité pilote de John Cockerill en Malaisie.

Valoriser toujours plus la biomasse résiduelle en Malaisie

Différentes productions agricoles dans le sud-est asiatique génèrent d’importants volumes de biomasse résiduelle, notamment sous forme de rafles de fruits. Cette biomasse est aujourd’hui utilisée comme combustible renouvelable dans la filière énergétique, mais sa forte teneur en humidité limite son efficacité énergétique.
Convaincues que, mieux valorisé, ce combustible naturel disponible en abondance pourrait être substitué aux matières fossiles pour produire de l’électricité, les équipes de John Cockerill développent actuellement un projet pilote à Singapour basé sur leur technologie The NESA Solution® de fours à soles multiples. Objectif : augmenter le pouvoir calorifique de cette biomasse afin d’à la fois diminuer les émissions de CO2 par unité de puissance électrique produite et d’utiliser une source renouvelable d’énergie en substitut du charbon.
En 2021, plusieurs étapes ont été initiées : recherche de fournisseurs, négociations de contrats de fourniture de matières premières et de contrats d’achat long-terme de la production, structuration du financement du projet, définition de l’ensemble de la ligne de production. Ces actions se prolongeront en 2022 afin d’aboutir au lancement de cette nouvelle filière énergétique.
Belgique : éviter les inondations en régulant le débit du Démer

Les équipes de John Cockerill sont fières de mettre leur savoir-faire électromécanique au service des habitants de Diest (Belgique) afin qu’ils continuent à vivre à l’abri des inondations.

Belgique : éviter les inondations en régulant le débit du Démer

La région flamande de Diest (Belgique) a longtemps souffert de fréquentes inondations. Pour éviter cela, en 1960, le Démer a été partiellement enterré et dévié autour de la ville. Après ces décennies de déviation, les autorités ont fait le choix de rendre le Démer aux Diestois afin d’améliorer leur cadre de vie, tout en veillant bien sûr à continuer de les protéger contre les inondations.
Un vaste chantier de rénovation et de réaménagement a donc été lancé sur un parcours total de 1,5 km. L’Agence Flamande de l’Environnement, organisme public en charge des voies d’eau non-navigables en Flandre, a confié en 2021 la partie électromécanique du projet aux équipes de John Cockerill : installation basse tension, fourniture et montage de 18 vannes motorisées et de 4 grandes vannes basculantes, instrumentation, raccordement et programmation électrique, et travaux de tranchées pour la pose des câbles entre les différents sites.
Des ponts pour traverser les rivières en toute sécurité en Côte d’ivoire

La population d’Agboville utilisait un radeau pour traverser le fleuve dans des conditions précaires. Les ponts construits par John Cockerill permettront des traversées plus sécurisées, pour le transport des personnes mais aussi du matériel.

Des ponts pour traverser les rivières en toute sécurité en Côte d’ivoire

Dans le cadre de la mise en vigueur du très important contrat signé avec l’Etat ivoirien, pour la fabrication de 15 ponts en brousse et la réalisation de 4 échangeurs routiers dans la ville d’Abidjan, les travaux avaient été officiellement lancés à la mi-octobre 2020.
En 2021, l’ensemble des études relatives aux ponts ont été finalisées et les premiers éléments métalliques ont été mis en place sur les appuis de génie civil. Pour les échangeurs, les études sont également finalisées et la déviation de la circulation pour mettre en place l’un des chantiers a débuté en 2022.
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